Collier Art nouveau GIP

1500,00

Collier Art nouveau GIP en corne et tissu. Long collier Art Nouveau réalisé en corne blonde sculptée et réhaussée d’encres noire et ocre (manques), prenant la forme de Monnaie-du-pape (aussi appelée « La lunaire annuelle »). Le pendentif retient une pampille en corne blonde également colorée de noir et ocre. Le collier est constitué d’un ruban de soie noir décoré de deux perles de verre noires. Collier Art Nouveau réalisé par Georges Pierre dit « GIP », circa 1910, France.

Signé au revers GIP pour Georges Pierre

Longueur : 72 cm
Dimensions du motif : 16 x 59 mm

Condition : manque de peinture, rayures d’usage

Poids : 14.75 gr

En savoir plus : les tranches de corne étaient trempées dans du peroxyde d’hydrogène pour les rendre translucides, puis baignées dans des produits chimiques pour donner un éclat chatoyant aux ailes ou une brillance rosée aux pétales. Les pendentifs, sculptés et teints avec des encres, étaient montés sur des rubans de soie, des cordons ou des chaînes avec des perles de verre pastel répétant les teintes délicates. Elisabeth Bonté et Georges Pierre G.I.P., d’abord rivaux, ont uni leurs ressources et leurs talents avant de produire des bijoux en corne jusqu’en 1936, alors que la Bakélite est devenue le matériau privilégié des bijoux fantaisie.

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Description

Collier Art nouveau GIP en corne et tissu. Long collier Art Nouveau réalisé en corne blonde sculptée et réhaussée d’encres noire et ocre (manques), prenant la forme de Monnaie-du-pape (aussi appelée « La lunaire annuelle »). Le pendentif retient une pampille en corne blonde également colorée de noir et ocre. Le collier est constitué d’un ruban de soie noir décoré de deux perles de verre noires. Collier Art Nouveau réalisé par Georges Pierre dit « GIP », circa 1910, France. 

Signé au revers GIP pour Georges Pierre

Longueur : 72 cm
Dimensions du motif : 16 x 59 mm 

Condition : manque de peinture, rayures d’usage

Poids : 14.75 gr

En savoir plus : les tranches de corne étaient trempées dans du peroxyde d’hydrogène pour les rendre translucides, puis baignées dans des produits chimiques pour donner un éclat chatoyant aux ailes ou une brillance rosée aux pétales. Les pendentifs, sculptés et teints avec des encres, étaient montés sur des rubans de soie, des cordons ou des chaînes avec des perles de verre pastel répétant les teintes délicates. Elisabeth Bonté et Georges Pierre G.I.P., d’abord rivaux, ont uni leurs ressources et leurs talents avant de produire des bijoux en corne jusqu’en 1936, alors que la Bakélite est devenue le matériau privilégié des bijoux fantaisie.

Informations complémentaires

Période

Types de bijoux

,

Pierres

GIP horn necklace

Collier Art nouveau GIP

1500,00

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