Boutons de manchette carré diamants en or jaune 18 karats (750 millièmes). Paire de boutons de manchette de forme carrée, ornés de quatre diamants (0.02 ct chaque). L’or est brossé. La partie mobile est décorée de motifs en pointe de diamant aux extrémités. Bouton de manchette moderne, circa 1970.
Poinçon hibou, poinçon 750 (poinçon d’État français pour l’or 18 karats)
Dimensions du motif carré : 9 x 9 mm Longueur : 2 cm
Poids total estimé des diamants : 0.16 carat
Clip de revers Retro saphirs en or 18 karats (750 millièmes). Clip de revers aux formes cylindriques et géométriques, décoré d’une ligne de quatre saphirs de synthèse calibrés. Ce clip de revers se porte sur une veste ou à la manière d’une broche. Datant de la période Rétro et réalisé dans le style de Mauboussin, il a été fabriqué par Louis Heissler, vers 1935/1940 en France.
Poinçon tête d’aigle et poinçon de l’atelier Louis Heissler, ayant travaillé pour Mauboussin des années 1940 aux année 1960, numérotation.
Double épingle de chignon Art nouveau en argent (800 millièmes). Epingle Art Nouveau composée d’un quartz rose et d’un quartz violet (améthyste) en goutte, placés de chaque côté d’une tige d’argent. Les deux quartz sont cerclés de fleurs d’argent. Cette importante épingle pouvait très probablement orner une coiffure, un chignon par exemple. Double épingle ancienne, époque Art Nouveau, circa 1900, France.
Poinçon sanglier (poinçon d’État français pour l’argent) et poinçon d’orfèvre
Longueur : 12 cm Dimensions d’un quartz : 3 x 1,5 cm
Note : une extrémités se visse à la tige
Condition : fêle sur un quartz
Épingles de coiffure mariage en or 18 karats et écailles. Cette paire d’épingles se compose de deux peignes à deux dents en écaille blonde (matière organique) et d’un élément à effet torsadé en or 18 karats. Vendue en paire. France, fin du 19ème siècle.
Véritables bijoux de tête, ces accessoires de coiffure de la fin du XIXe siècle viendront parer et sublimer votre chignon de mariage et lui apporter une touche finale romantique.
Poinçons tête d’aigle (poinçon d’État français pour l’or 18 karats) et poinçon d’orfèvre
Hauteur : 9.5 cm
Largeur : 2.1 cm
Condition : rayures d’usage
Poids : 3.96 gr chacune
Prix à l’unité : 340 €
Une paire plus petite du même modèle est disponible pour constituer une parure de 4 épingles (voir dernière photo). Pour les voir, cliquez ici !
En savoir plus sur la coiffure : au XIXe jusqu’au XXe siècle, les femmes se coiffaient d’accroche-coeurs (tortillons plaqués sur le front) et de boucles encadrant chaque côté du visage. Elles ajoutaient à leur coiffure un peigne, des fleurs, des feuilles ou des rubans orné de bijoux.
Boutons de manchette Art Deco onyx et argent. Paires de boutons de manchette en onyx, de forme ovale, décorés d’un strass au centre imitant le diamant. Montés sur argent, ils sont assortis de deux boutons de col L’ensemble est vendu dans son écrin d’origine en cuir. Paire de boutons de manchette, début du XXe siècle, Art Deco, France.
Poinçon sanglier (poinçon d’État français pour l’argent) et poinçon d’orfèvre illisible
Dimensions des boutons de manchette : 15 x 11 mm Dimensions des boutons de col : 9 x 6 mm
Note : vendu avec leur écrin d’origine
Condition : oxydations, petit manque derrière un des boutons de manchette
Poids des boutons de manchette : 4.22 gr
Poids des petits boutons : 1.52 gr
Epingles de coiffure en or et écailles. Ces épingles sont composées de deux dents en écailles blondes (matière organique) et d’un élément à effet torsadé en or 18 karats (750 millièmes). Epingles de mariage de la fin du 19ème siècle, France.
Véritables bijoux de tête, ces accessoires de coiffure de la fin du XIXe siècle viendront parer et sublimer votre chignon de mariage et lui apporter une touche finale romantique. Ces épingles de chignon seront parfaites pour un évènement religieux ou un anniversaire.
Hauteur : 8 cm Largeur : 1.5 cm
Note : ces épingles sont vendues en paire
Condition : petite ébréchure à une pointe sur l’une des épingles
Poids : 2.1 gr et 2 gr
Prix à l’unité : 300 €
Une paire plus grande du même modèle est disponible pour constituer une parure de 4 épingles (voir dernière photo). Pour les voir, cliquez ici !
En savoir plus sur la coiffure : au XIXe jusqu’au XXe siècle, les femmes se coiffaient d’accroche-coeurs (tortillons plaqués sur le front) et de boucles encadrant chaque côté du visage. Elles ajoutaient à leur coiffure un peigne, des fleurs, des feuilles ou des rubans orné de bijoux.
Grand fermoir cœur régional émaillé en or 18 karats (750 millièmes). Ce fermoir régional, en or creux, est de forme rectangulaire. Il est richement décoré de motifs d’émaux colorés : d’un côté, une fleur émaillée s’épanouissant au centre d’un blason, elle est entourée de deux pensées bleues et vertes, dans un cartouche. Le cartouche est entouré d’une frise de fleurons et de formes ovales émaillées ; de l’autre côté, deux coeurs enflammés reposant sur deux cornes d’abondance entrecroisés, émaillés bleu et rouge, dans un cartouche. Le cartouche est entourée d’une frise de points à fond bleu. Fermoir régional de Normandie, bijou de sentiment français du milieu du 19ème siècle, France.
Poinçon tête d’aigle (poinçon d’État français pour l’or 18 karats)
Boutons de manchette Art Nouveau en argent. Paire de boutons de manchette de forme oblongue, décorés de motif sinueux en vagues. Ces motifs sont typiques de la période Art Nouveau. Les boutons sont reliés entre-eux par une fine chaînette. Paire de boutons de manchette, bijou pour homme, circa 1910, France. […]
Boutons de manchette style Taxco en argent. Paire de boutons de manchette décorée d’un motif géométrique et d’une pierre d’Eilat taillée en cabochon (pierre composée de chrysocolle, de turquoise et de malachite). Boutons de manchette des années 50, probablement Mexique ou Etats-Unis.
En savoir plus : la pierre d’Eilat est une pierre semi-précieuse originaire de la région d’Eilat en Israël, composée de minéraux tels que la malachite, l’azurite, la turquoise et le chrysocolle. Elle présente une gamme de couleurs allant du vert au bleu et est utilisée dans la fabrication de bijoux et d’objets d’art.
Peigne à cheveux pointes d’acier. Ce peigne à chignon ancien est composé de cinq dents en corne blonde. La partie haute s’incline, elle est décorée d’une ligne de fleurs en pointes d’acier facettées. Peigne ancien pour coiffer les cheveux, parfait accessoire de coiffure de mariage. Bijou de tête, France, début du XIXe siècle.
Dimensions : 7,5 cm x 8,5 cm
Condition : légères rayures, la fleur centrale bouge légèrement
Poids : 18.58 gr
En savoir plus : dans le dictionnaire des techniques du 19èmes siècle : “L’acier, grâce à sa dureté, est susceptible d’un beau poli ; un en forme des demi-perles très finement facettées, et ces pointes d’acier sont rivées les unes contre les autres sur des plaques de cuivre argenté percées de mille trous, qui reproduisent en silhouette les dispositions que l’on veut exécuter.”
Grand peigne Art Nouveau en corne. Grand peigne Art Nouveau à sept dents, en corne blonde à décor floral. Il représente une branche fleurie de cerisier, motif très courant dans la période Art Nouveau, influencée par les Arts du Japon. Peigne de chignon signé E.Birkel, circa 1900.
Large fermoir régional émaillé en or rose 18 karats (750 millièmes) et 14 karats (anneau debout). Ce large fermoir de Normandie, en or creux, prend la forme d’une plaque rectangulaire de type “boîte cliquet”. Il est richement décoré d’émaux colorés : d’un côté, trois fleurs partiellement émaillées s’épanouissant au centre du fermoir, dans un cartouche. Le cartouche est entouré d’une frise de points et d’arc de cercle ; de l’autre côté, un panier de fleurs composé de pensées, de blés, d’une rose et d’une tulipe, dans un cartouche émaillé bleu. La présence de la pensée est typique de l’iconographie des bijoux du sentiment du début du 19ème siècle : il s’agit d’un jeude mots et signifie « pensez à moi ». Fermoir régional de Normandie, bijou de sentiment français du début du 19ème siècle. Collection fermoirs
En savoir plus : ci-dessous un extrait d’un article de Valérie Goupil, docteure, experte et historienne du bijou, sur le “Bijou de sentiment” au XIXe siècle :
Le « bijou de sentiment » est un bijou inspiré par l’amour, dans son sens large : amoureux, fraternel, filial, amical… Offert, échangé, gage matérialisant le lien indéfectible entre la personne qui le porte et son donateur. Porté sur soi, parfois à même la peau, il est un médiateur permettant de rester physiquement en contact avec celle ou celui que l’on désire conservé près de soi. Ce bijou très intime, parfois non « lisible » aux regards extérieurs, déploie une délicate ingéniosité et utilise un langage très personnel afin de restituer la présence de l’être absent. Les modes de représentations sont variés: portrait, symboles, emblèmes, allégories, inscriptions et fragments de corps sont employés pour faire vivre l’aimé avec soi.