Epingle Art deco fer à cheval en or 18 karats rose (750 millièmes) et platine. Epingle de cravate Art Deco à décor de fer à cheval en partie supérieure. Le fer à cheval est serti de dix diamants plats dans un serti en platine ciselé. Epingle de cravate, bijou pour homme, circa 1930, France.
Poinçon tête d’aigle (poinçon d’État français pour l’or 18 karats) et poinçon d’orfèvre illisible.
Dimensions du motif : 13.6 x 10.7 mm Hauteur totale : 6.5 cm
Collier Art Deco palmes en or deux tons jaune et blanc (750 millièmes). Collier ancien composé de cinq motifs rayonnants et géométrique, alternant l’or jaune et l’or blanc. La chaine du collier est composée de mailles trombone alternée de maillon double huit. Collier Art Deco, circa 1930, France.
Poinçon tête d’aigle (poinçon d’État français pour l’or 18 karats), poinçon d’orfèvre partiellement lisible.
Longueur : 42.5 cm Dimensions du motif central : 20 x 14 mm
Grand peigne Art Nouveau en corne. Grand peigne Art Nouveau à sept dents, en corne blonde à décor floral. Il représente une branche fleurie de cerisier, motif très courant dans la période Art Nouveau, influencée par les Arts du Japon. Peigne de chignon signé E.Birkel, circa 1900.
Bague moderniste corail en or jaune 18 karats (750 millièmes). Bague ornée d’un cabochon de corail orange serti par quatre griffes épaisses et plates. L’anneau de la bague est délicatement travaillé, les épaules sont ajourées et formentde belles lignes rondes typique de la période Rétro. Bague vintage, circa 1950.
Poinçon hibou (poinçon d’État français pour l’or 18 karats)
Tour de doigt : 46 UE ou 3.5 US (petite mise à taille possible)
Collier Skønvirke de Marius Hammer en argent. Collier ancien de type “draperie”, composé d’une ligne d’éléments émaillés bleu ciel et blanc à décor filigranné, retenant quatre chainettes liées les unes aux autres et décorées de pendeloques émaillées. Au centre, un élément trilobé en émail plique à jour termine la composition et retient trois gouttes en pampille. Le collier se ferme à l’aide d’un fin fermoir à baïonnette. Collier attribué au joaillier Norvégien de la période Art Nouveau Marius Hammer. Collier Art Nouveau, circa 1900.
Longueur : 43.5 cm
Dimensions des éléments centraux : 16 x 5.5 cm
Condition : légères oxydations, deux anneaux en métal, petits sauts d’émail blanc.
Grandes poissardes Empire en or rose 18 karats (750 millièmes). Ces boucles d’oreilles poissardes de forme circulaire sont décorées de huit fleurs, toutes centrées d’un verre facetté bleu dans un entourage de petites perles fines. Modèle élégant et peu vu, probablement de la région de la Bresse. Boucles d’oreille Empire Napoléon Ier, circa 1810, France.
Tête de coq (poinçon d’or pour les départements, 1809-1819)
Diamètre : 31 mm
Condition : rayures d’usage, bijou léger et délicat à manipuler avec soin.
Boucles d’oreille marguerite en or jaune 18 karats (750 millièmes) et argent. Paire de clous d’oreille en diamants, de forme marguerite, centrée d’une pierre d’imitation bleue (doublet grenat/verre). Boucles d’oreilles anciennes, vers 1900, système de fermeture Alpa sécurisé (ajout plus tardif).
Poinçon hibou et cygne, poinçon 750 sur les fermoirs Alpa.
Pendentif Stern topaze en or jaune 18 karats (750 millièmes). Pendentif de H. Stern serti d’une importante topaze bleue de taille ovale et facettée. La topaze est sertie par quatre griffes sur une monture en or jaune. La bélière du bijoux peut s’ouvrir par l’arrière pour parer la chaîne de votre choix. Pendentif vintage des années 60, H.Stern, premier bijoutier-joaillerie au Brésil et en Amérique Latine.
Bracelet chaînes en or jaune 18 karats (750 millièmes). Bracelet composé de trois rangs de chaînes reliés par des éléments couleur trois ors. Le bijou est décoré d’un élément serti de cabochons de verre bleu et d’un anneau en or creux. Bracelet réalisé vers 1990, France.
Poinçon tête d’aigle (poinçon d’État français pour l’or 18 karats)
Tour de poignet : 18 cm
Largeur max. : 15 mm
Note : chaînette de sécurité
Condition : rayures d’usage
Boucles d’oreille calcédoine bleue en or jaune 18 karats (750 millièmes). Longues boucles d’oreille serties d’un cabochon et d’une goutte en calcédoine teintée bleu. Le revers de l’attache est décoré d’une fleur. Clips d’oreille du début du 20ème siècle.
Poinçon hibou (poinçon d’État français pour l’or 18 karats)
Dimensions : 38 x 7 mm
Note : pour oreilles non percées
Condition : fines rayures d’usage, petites trace d’étain à l’arrière.
Bague marguerite diamants rubis en or blanc 18 karats (750 millièmes). Bague centrée d’un important diamant taille ancienne (“old mine cut”) pesant environ 0,33 carat. Le diamant est entouré de six rubis navette et de quatre diamants taille brillant. Les rubis ont une très belle couleur rouge framboise. Il y a également quatre diamants taille brillant sertis sur les épaules. Bague vintage réalisée dans les années 1970 à partir d’un bijou plus ancien, France.
Poinçon tête d’aigle et poinçon d’orfèvre illisible (poinçon d’État français pour l’or 18 karats)
Tour de doigt : 48 UE ou 4,5 US (mise à taille possible)
Diamètre du chaton : 16 mm
Poids estimé du diamant central : 0,33 carat
Poids total estimé des diamants : 0,57 carat
Poids estimé des rubis : 1.14 carat
Broche fleur de lys en or jaune (creux), 18 karats (750 millièmes) en forme de fleur de lys, décorée de trois perles fines dans un cartouche. France, broche ancienne vers 1900.
Poinçon tête d’aigle (poinçon d’État français pour l’or 18 karats)
Dimensions : 35 x 28 mm
Condition : rayures d’usage
Poids : 4.29 gr
Le symbole : le lys est une fleur symbolisant la royauté depuis bien des siècles. La fleur de lys serait apparue pour la première fois sur le sceptre de Charles-le-Chauve (823-877), petit-fils de Charlemagne. La Royauté française aurait donc choisi cet emblème au même titre que d’autres familles régnantes européennes avaient choisi l’aigle, le lion ou le léopard. Durant des siècles, jusqu’à la révolution, la fleur de lys s’imposa donc comme symbole héraldique sur les monuments, la monnaie, les vêtements et tapisseries, les sculptures, les statues, les objets d’art, la peinture…Pour marquer leur opposition à la monarchie et au catholicisme, les Révolutionnaires détruisirent de très nombreux sites et œuvres d’art marqués par ce symbole.