Ancien et rare pendentif en fonte d’acier, datant de la fin du 18eme – début du 19eme siècle. Il est orné d’une plaque émaillée représentant une scène pastorale.
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Ancien et rare pendentif en fonte d’acier, datant de la fin du 18eme – début du 19eme siècle. Il est orné d’une plaque émaillée représentant une scène pastorale.
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Pendentif email pointe d’acier de la fin du XVIIe – début du XIXe siècle, d’époque géorgienne. Une plaque de métal émaillé à décor d’une scène pastorale orne ce pendentif. L’entourage est en fonte d’acier surmonté d’un noeud délicat venant couvrir le médaillon. Des clous d’acier sont taillés en facette et rivetés à la base. La plaque émaillée représente une femme accoudée à un arbre, aux côtés d’un agneau allongé. Elle regarde au loin un oiseau portant une missive. Le dos de la plaque est en nacre. Travail probablement anglais de la fin du 18e – début du 19e siècle.
Hauteur : 5,6 cm avec la bélière
Largeur 2,2 cm
Hauteur de la miniature : 26 mm
Poids : 7 gr
Point historique : par la suite, ces scènes deviennent particulièrement à la mode dans l’Angleterre des années 1860, à la mort du prince Albert laissant la Reine Victoria dans un profond chagrin.
En savoir plus : Au 18e siècle, l’atelier le plus réputé se situe à Woodstock, en Angleterre près d’Oxford. La mode des bijoux en acier se répand jusqu’à la fin du 19e siècle, en Angleterre et jusqu’au début du 20e siècle en France. L’avantage de cette bijouterie est qu’elle peut remplacer aussi bien les pierres que le métal. Par exemple, lorsque l’on taille ce matériau en facettes, il peut scintiller de la même manière que la pyrite et imiter l’éclat d’un diamant. A l’origine, accessible à une clientèle de moyenne classe, les bijoux d’acier deviennent l’apanage de la noblesse dès qu’ils adoptent une décoration particulière : la porcelaine ou décoré de perles blisters par exemple, devenant ainsi de plus en plus recherchés et onéreux.
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