Broche Art nouveau par Barnet Henry Joseph (1865-1929), en or rose et jaune 9 karats (383 millièmes). La broche de forme triangulaire est composée d’entrelacs ajourés. Il s’agit d’un motif typique de l’Art Nouveau anglais, aussi appelé Arts & Crafts. Au centre, un cabochon de quartz rose orne la pièce, dans un serti dentelé. Au bas de la broche, en pampille, une perle fine allongée (non testée). Broche anglaise signée par Henry Joseph Barnet, vers 1910.
Collier ancien croix corail en or jaune 18 karats (750 millièmes). Le collier et son pendentif sont décorés de perles de corail. Chaque trio de perles est relié par de délicates chaînes d’or tressées. La croix est ouvragée en millegrain et agrémentée d’une perle de corail aux extrémités. Le fermoir est une boite cliquet fine et allongée. Bijou religieux, probablement du Sud de la France, bassin méditerranéen, milieu du 19ème siècle.
Poinçons tête d’aigle
Longueur du collier : 39 cm
Dimensions de la croix : 3 cm x 1,9 cm
Poids : 3,90 gr
Point gemmologie : le corail est une gemme d’origine organique. Seuls les troncs ramifiés calcaires de certains coraux sont employés en joaillerie. Sa couleur est due à des pigments organiques proche du carotène: variant du rouge sang au blanc, en passant par le rose « peau d’ange ». Pendant longtemps il était de tradition d’offrir des collier de corail aux enfants en bas-âge pour les protéger des maladies. Le corail était réputé pour être protecteur, notamment dans le bassin Méditérranéen, en Italie et Corse particulièrement. Actuellement, la plupart des espèces de coraux sont protégées par la convention CITES, la convention du commerce international des espèces de la faunes et de la flore sauvages menacées d’extinction.
Conservation : le corail doit éviter tout contact avec des produits autre que naturel tels que le parfum, le shampoing, le gel douche, le déodorant. Il faut également éviter les zones trop sèches (exposition longue au soleil, radiateur etc.).
Broche Art nouveau orchidee en or mat 18 karats (750 millièmes) de couleur jaune et vert. La broche adopte une forme triangulaire à décor d’une fleur, une orchidée, largement épanouie et centrée d’une pierre verte (doublet grenat/verre). Dans un entourage de lignes en « coup de fouet » avec une alternance de couleur d’or. Une perle en pampille se situe sous la fleur, elle est sertie par 6 griffes. Travail français de la période Art Nouveau, vers 1900.
Poinçon tête d’aigle et poinçon d’orfèvre partiellement effacés.
Hauteur : 3 cm
Largeur : 3 cm
Note : pour le porter en pendentif, demandez-nous un devis
Pendentif camee agate diamants en or jaune 18 karats (750 millièmes) à décor du profil de la déesse Flora, coiffée de fleurs. L’agate possède trois couches : grise pour le fond, blanche pour le profil, brune pour les fleurs dans les cheveux. Le camée est serti par des griffes en fleur de lys. Quatre diamants taille coussin et taille ancienne, ainsi que huit rubis (dont une pierre rouge) encadrent le camée sur une bande d’émail noir bombée. Bijou de la seconde moitié du 19ème siècle, période Napoléon III ou période victorienne.
Deux poinçons hibou
Hauteur : 5 cm
Largeur : 3 cm
Condition : petit accident sur le bouton de fleur supérieur de la coiffure, un très léger saut d’émail dans l’épaisseur sur la partie gauche. Un rubis qui a été remplacé par une pierre rouge (en haut à droite).
Note : ce bijou a fait l’objet d’une transformation, le pendentif était une broche à l’origine.
Poids des pierres : les 4 diamants pèsent environ 0,32 carat au total ; les 7 rubis pèsent environ 0,35 carat au total.
Croix strass email Second Empire en argent. Cette croix est en argent à décor filigrané, formant une croix de verres facettés rose sur paillons imitant la topaze rose. Un décor émaillé noir à points blancs recouvre l’ensemble du pendentif. Une perle de verre orne la partie supérieure de la composition. Les chatons sont à fond fermé. Travail français du milieu du 19e siècle.
Pendentif émaillé porte-photo 19eme en métal argenté. Une plaque de céramique émaillée orne le centre du pendentif. Il représente une femme en costume régional traditionnel, la tête baissée et les mains croisées, devant l’église du village. Son costume laisse à penser qu’il s’agit d’une alsacienne, avec le grand noeud noir qui se portait en coiffe sur le dessus de la tête.
Des pierres en verre rose entourent le personnage dans un ensemble en volutes 48. A l’arrière, le médaillon s’ouvre pour que l’on puisse y placer une mèche de cheveux ou une photographie de l’être cher. Travail français de la fin du 19ème siècle.
Hauteur : 4,3 cm
Largeur : 3,1 cm
Condition : léger manque à l’émail sur le côté gauche de la céramique.