Pendentif scarabée égyptien pivotant en or rose 14 karats (585 millièmes). Pendentif orné d’un scarabée en stéatite monté sur un pivot, le revers est gravé d’un lion marchant vers la droite, la queue au dessus du dos. Le lion apparaît déjà sur des scarabées du début du Moyen Empire, mais il est particulièrement populaire au cours de la Deuxième Période Intermédiaire et du Nouvel Empire. Pendentif datant de la 13e à la 15e dynastie, 1650–1550 avant Jésus-Christ; monture en or de la fin du 19ème siècle.
Poinçon coquille (poinçon d’État français pour l’or 14 karats)
Pendentif astro Bélier en or 18 karats (750 millièmes). Pendentif signe du zodiaque vintage figurant un bélier émaillé jaune entouré d’étoiles blanches. Bijou pour les natifs de mars et d’avril. Pendentif signé Unoaerre, circa 1990, Italie
Médaille Art Nouveau mois de juin en or rose 18 karats (750 millièmes). Pendentif mois de juin décoré de roses en fleur, serti au centre d’un cabochon en verre vert émeraude. Le mot « juin » est ajouré dans l’or en bas du pendentif. Pendentif ancien du début du 20e siècle, période Art Nouveau, France.
Poinçon tête d’aigle (poinçon d’État français pour l’or 18 karats), poinçon d’orfèvre illisible
Pendentif Amour en cage de Charles Perroud en or 18 karats (750 millièmes). Petit pendentif prenant la forme d’une cage, renfermant un cœur serti d’un rubis de synthèse taillé en cœur. Pendentif vintage de Charles Perroud, circa 1940, France
Poinçon tête d’aigle et poinçon d’orfèvre Charles Perroud (actif à Lyon de 1913 à 1949)
Pendentif éventail en or jaune 18 karats (750 millièmes). Pendentif ancien figurant un éventail se pliant et se dépliant. Il est décoré de ciselures formant des fleurs de bleuet, avec des lignes typiques de la période Art Nouveau. Pendentif ancien, fin du 19ème siècle. Poinçons hibou (poinçon d’État français pour […]
Fermoir régional de Normandie en or jaune 18 karats (750 millièmes). Ce fermoir régional, de type boite cliquet, est plat et rectangulaire. Il présente un double décor : d’un côté deux pensées émaillées dans un cartouche, entourées d’un cadre bleu ; de l’autre côté, un panier de fleurs émaillées dans un cartouche, dans un entourage bleu foncé. Fermoir plat régional ancien, pouvant être porté en pendentif. Bijou de sentiment français du début du 19ème siècle.
Poinçon tête de bélier (actif entre 1819-1838) et poinçon d’orfèvre partiel
Collier Saint-Esprit ancien en or jaune 18 karats (750 millièmes). Ce collier pendentif est composé d’une colombe en or estampé, serti d’un verre facetté vert, au-dessus de laquelle se trouve un coulant en forme de losange, également orné d’un verre vert. L’or est ciselé. La colombe à la tête orientée vers le bas. La chaine ancienne a un délicat motif en V. Pendentif Saint-Esprit, Napoléon III, circa 1880.
Poinçons tête d’aigle (poinçon d’État français pour l’or 18 karats)
Longueur : 37 cm
Dimensions de la colombe : 14 x 17 mm
Collier pendentif opales diamants en or 9 karats (375 millièmes) et argent (800 millièmes). Pendentif ancien composé de différents éléments floraux sertis de 65 diamants taillés en rose, de perles fines et de saphirs. Un cabochon d’opale orne la partie inférieure du pendentif. Deux saphirs ronds naturels ornent la partie supérieure du bijou. Chaîne en argent et fermoir mousqueton. Collier pendentif formé d’éléments datant de la Belle Époque, circa 1895.
Poinçon trèfle et poinçon cygne
Longueur de la chaîne : 50 cm Hauteur : 75 mm Largeur : 24 mm
Poids estimé des saphirs : 0,18 carat
Poids estimé de l’opale : 0.67 carat
Poids estimé des diamants : 0.30 carat
Pendentif Art Deco onyx diamants en platine (950 millièmes). Pendentif ovale de la période Art Deco formé d’une monture en onyx facettée ornée au centre d’une plaque de nacre sous un cristal de roche. Le cristal de roche est décoré d’une intaille figurant une allégorie de la danse : une femme nue dansant et jouant avec un voile. Ce motif central se trouve dans un entourage de platine et décoré de volutes serti de douze diamants taillé en rose. La bélière est agrémentée d’un anneau entièrement serti de diamants (sur les deux côtés). Pendentif ancien, circa 1930, France.
Poinçon tête de chien (poinçon d’État français pour le platine)
Hauteur (avec la bélière) : 59 mm
Largeur : 29 mm
Condition : légère rayure d’usage, la partie au dos devait peut-être fermer avec un autre verre.
Pendentif globe terrestre ancien en or 18 karats (750 millièmes) et émail. Pendentif ancien prenant la forme d’un globe terrestre sur un socle émaillé noir. Le globe tourne sur lui-même, il est émaillé et représente les continents (Afrique, Asie, Europe, Amérique Nord, Amérique Sud, Nouvelle Hollande), les océans et les mers (mer des Indes, océan Atlantique, océan Pacifique) et le tropique du Cancer. Pendentif globe ancien, circa 1830-1830, France.
Poinçon tête d’aigle (poinçon d’État français pour l’or 18 karats) et poinçon d’orfèvre OG ou CG.
Médaillon porte-photo ovale en or 18 karats (750 millièmes). Médaillon ancien de forme ovale, décoré sur le devant de formes géométriques émaillées en noir et décorée de 10 demi-perles et de ciselures. Le médaillon s’ouvre pour y placer un objet sentimental ou une photographie de famille, protégé derrière un verre mobile. Pendentif médaillon, période Napoléon III, circa 1860, France.
Poinçon tête d’aigle (poinçon d’État français pour l’or 18 karats)
Hauteur (avec la bélière) : 39 mm Largeur : 21 mm
Condition : manque d’émaux partiel et rayures d’usage
Collier Art nouveau GIP en corne et tissu. Long collier Art Nouveau réalisé en corne blonde sculptée et réhaussée d’encres noire et ocre (manques), prenant la forme de Monnaie-du-pape (aussi appelée « La lunaire annuelle »). Le pendentif retient une pampille en corne blonde également colorée de noir et ocre. Le collier est constitué d’un ruban de soie noir décoré de deux perles de verre noires. Collier Art Nouveau réalisé par Georges Pierre dit « GIP », circa 1910, France.
Signé au revers GIP pour Georges Pierre
Longueur : 72 cm Dimensions du motif : 16 x 59 mm
Condition : manque de peinture, rayures d’usage
Poids : 14.75 gr
En savoir plus : les tranches de corne étaient trempées dans du peroxyde d’hydrogène pour les rendre translucides, puis baignées dans des produits chimiques pour donner un éclat chatoyant aux ailes ou une brillance rosée aux pétales. Les pendentifs, sculptés et teints avec des encres, étaient montés sur des rubans de soie, des cordons ou des chaînes avec des perles de verre pastel répétant les teintes délicates. Elisabeth Bonté et Georges Pierre G.I.P., d’abord rivaux, ont uni leurs ressources et leurs talents avant de produire des bijoux en corne jusqu’en 1936, alors que la Bakélite est devenue le matériau privilégié des bijoux fantaisie.