Médaillon émail nid d’abeille en or jaune 18 karats (750 millièmes). Pendentif ouvrant ancien décoré à l’avant d’une bande centrale à décor de deux fleurs sur un fond en nid d’abeille, formé d’alvéoles. Le centre est séparé par deux bandes d’émail bleu. Les extrémités sont décorées de bandes avec des points en relief. Ce médaillon s’ouvre sur un compartiment secret pouvant contenir une ou deux photographies. L’arrière du médaillon est en or mat, lisse, non gravé. Pendentif porte-photo ancien, vers 1880, France.
Poinçon tête d’aigle (poinçon d’État français pour l’or 18 karats) et poinçon régional en forme de fleur
Dimensions : 35 x 25 mm
Condition : fines rayures d’usage, sans verre de protection
Collier draperie provençal diamants en or jaune 18 karats (750 millièmes) et argent. Collier ancien régional composé de cinq éléments en argent sertis de diamants taillés en rose. Le pendant central retient deux diamants en pampille. Des chaînettes en maille jaseron relient chaque éléments endiamantés. La chaine principale est ancienne et en or jaune. Collier draperie ancien arlésien, Provence, fin XIXe siècle, France.
Poinçon sanglier et tête d’aigle sur la chaine, poinçon tête de cheval (poinçon d’État français pour l’or 18 karats et pour l’argent).
Longueur totale : 39 cm Dimensions de l’élément central : 35 x 25 mm
Condition : le fermoir n’est pas centré sur la chaîne
Poids : 17.09 gr
*Les écrins anciens ne sont pas vendus avec le bijou*
Grande croix religieuse améthystes en or jaune 18 karats (750 millièmes) et argent. Importante croix religieuse à porter en pendentif, ornée de 19 améthystes rondes facettées et de pierres de Rhin (strass). Bijou de cérémonie religieuse, croix chrétienne de la fin du 19ème siècle, Sud de la France ou Italie.
Poinçon hibou et cygne (poinçons d’État français pour l’or 18 karats et l’argent)
Bague diamant solitaire émail taille rose en or jaune 18 karats (750 millièmes). Bague solitaire ancienne du Second Empire, centrée d’un diamant en taille “rose hollandaise” (facettes sur le dessus, plat au dessous). Le diamant est serti par huit griffes et l’intérieur du serti est émaillé de noir. Le diamant central pèse environ 0,40 carat. Les épaules de l’anneau sont délicatement décorées. Bague ancienne, circa 1860.
Tour de doigt : 53 UE ou 6,25 US (Mise à taille possible)
Fermoir régional émail fleur en or rose et jaune 18 karats (750 millièmes). Ce fermoir régional est de type “boite cliquet”, il est plat et rectangulaire et présente un joli décor : d’un côté une pensée émaillée bleu au centre d’un médaillon ovale. La fleur est entourée de quatre fleurs stylisées placées aux coins sur cartouche rectangulaire. Le cartouche est décoré d’une frisée de points bleus et de formes ovales ; de l’autre côté, un cartouche sans décor dans un cadre émaillé bleu, entouré d’une frise de losange bleu et de fleurons. Fermoir régional de Normandie, bijou de sentiment français du début du 19ème siècle qui peut être porté en pendentif.
Poinçon tête de bélier (actif entre 1819-1838, poinçon d’État français pour l’or 18 karats)
Bague topaze bleue diamants en or jaune 18 karats (750 millièmes). Bague ancienne centrée d’une large topaze bleu glacier en taille rectangulaire à pans coupés, dans un entourage de 16 diamants taille ancienne. La topaze a une belle couleur cristalline, proche de l’aigue-marine. Bague ancienne, circa 1880.
Poinçon hibou (poinçon d’État français pour l’or 18 karats)
Tour de doigt : 48,5 UE ou 4,5 US (mise à taille possible)
Dimensions de la tête de bague : 16 x 12 mm
Poids estimé de la topaze : 3.99 cts
Poids estimé des diamants : 0,80 ct
Bague rubis 18ème Italie en or 14 karats (585 millièmes). Bague ancienne de la fin du XVIIIe siècle, formant une « marguerite » sertie de neuf rubis taillés en table. Chaque épaule de la bague est également sertie de trois rubis. L’anneauest richement décoré de rinceaux et feuilles stylisées. Comme la plupart des bagues de cette période, la tête de la bague est fixée à l’aide d’un rivet. Bague ancienne, bassin méditerranéen, probablement Italie, circa 1780.
Poinçon de garantie illisible, or testé 14k.
Tour de doigt : 56 UE ou 7.5 US (mise à taille possible au risque d’avoir un manque de décor de l’anneau)
Dimensions du chaton : 14.8 mm x 15 mm
Condition : rayures d’usage
Poids : 5.4 gr
En savoir plus : Il existe plusieurs exemples de bagues identifiées comme italiennes au British Musuem. Même si l’on sait que ces modèles se faisaient également en Espagne, il n’existe pas de modèles espagnols référencés dans les musées. Cependant, on retrouve ce style dans toute l’Europe du Sud : Italie, Espagne et Portugal et cela s’explique par la présence des Habsbourg pendant les XVIe et XVIIe siècles dans les régions telles que la Sicile, la Sardaigne, Naples ou Milan.
Fermoir plat régional émail en or jaune 18 karats (750 millièmes). Ce fermoir régional, de type boite cliquet, est rectangulaire et présente un décor original : d’un côté un chien joue avec un oiseau près d’un arbre et d’une maison émaillée bleu, dans un cartouche. Le cartouche est décoré d’une frise bleue avec des fleurons et des formes ovales (voir la photo recto-verso) ; de l’autre côté, un chien court après un chat près d’un arbre et d’un moulin à vent, dans un cartouche entouré d’une frise émaillée bleu nuit (voir la photo recto-verso). Ancien fermoir régional de Normandie, pouvant être porté en pendentif. Bijou de sentiment français du début du 19ème siècle.
Poinçon tête de bélier (actif entre 1819-1838, poinçon d’État français pour l’or 18 karats)
Double bague serpent diamant taille rose en or jaune 18 karats (750 millièmes) et argent. Cette bague se compose de deux serpents s’enroulant autour du doigt. Les têtes des deux reptiles sont surmontées d’un diamant taillé en rose hollandaise. Les têtes sont délicatement ciselées et viennent se poser sur les deux rangs formés par le corps de l’animal. Bague ancienne, France, fin du 19ème siècle.
Poinçon tête d’aigle
Tour de doigt : 63 UE ou 10.25 US (mise à taille possible)
Dimensions du motif : 18 x 18 mm Largeur de la tête de la bague : 10 mm
Boucles d’oreille pendantes corail en or jaune (750 millièmes). Pendants d’oreille anciens composés d’une goutte de corail facettée en pampille, surmontée d’un petit cabochon de corail. Boucles d’oreille anciennes, début du 20ème siècle.
Poinçon hibou (poinçon d’État français pour l’or 18 karats)
Bague romantique Giardinetti en or jaune 18 karats (750 millièmes) et argent. Bague ancienne à motif d’un panier de fleurs, sertie de strass de couleur (vert, rouge, et bleu) et de marcassites. L’anneau de la bague est en or 18 karats et est postérieur au panier. Bague de la fin du 19ème, dans l’esprit romantique des bagues du 18ème siècle.
Poinçon hibou et cygne (poinçon d’État français pour l’or 18 karats et l’argent)
Tour de doigt : 56 UE ou 7.75 US (mise à taille possible)
Dimensions du chaton : 19 x 18 mm
Condition : anneau modifié, fissure à l’anneau partant du poinçon, rayures d’usage.
Poids : 3.54 gr
En savoir plus : les bagues « Giardinetti » ou « Petits jardins » ou encore « Little garden » en anglais, sont apparues à la fin du XVIIe siècle. Au XVIIIe siècle, la tendance naturaliste a charmé les orfèvres, conduisant à la création de nombreuses pièces ornées de motifs floraux et animaliers, surtout des insectes. Les bagues « Giardinetti » se présentent souvent comme des gerbes de fleurs et de feuillages reliées par un ruban, ou sous la forme d’un bouquet dans un petit panier. Très prisées au milieu du XVIIIe siècle, elles étaient majoritairement conçues en or et argent, et parfois en métal agrémentées de strass.
Broche fleur de lys en or jaune (creux), 18 karats (750 millièmes) en forme de fleur de lys, décorée de trois perles fines dans un cartouche. France, broche ancienne vers 1900.
Poinçon tête d’aigle (poinçon d’État français pour l’or 18 karats)
Dimensions : 35 x 28 mm
Condition : rayures d’usage
Poids : 4.29 gr
Le symbole : le lys est une fleur symbolisant la royauté depuis bien des siècles. La fleur de lys serait apparue pour la première fois sur le sceptre de Charles-le-Chauve (823-877), petit-fils de Charlemagne. La Royauté française aurait donc choisi cet emblème au même titre que d’autres familles régnantes européennes avaient choisi l’aigle, le lion ou le léopard. Durant des siècles, jusqu’à la révolution, la fleur de lys s’imposa donc comme symbole héraldique sur les monuments, la monnaie, les vêtements et tapisseries, les sculptures, les statues, les objets d’art, la peinture…Pour marquer leur opposition à la monarchie et au catholicisme, les Révolutionnaires détruisirent de très nombreux sites et œuvres d’art marqués par ce symbole.